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- Publications de Paul Eychart (disponibles à l'ASCOT : bon de commande)
La bataille de Gergovie (Printemps 52 av.
J.-C.) Les faits archéologiques – Les sites – Le faux historique
(éditions Créer –
Nonette – 1987)
L'ouvrage qu'il
faut avoir lu si on ne lit qu'un seul livre de Paul Eychart, cette publication
étant sa plus complète. Il s'agit en effet d'une synthèse de tous ses travaux
ayant trait à Gergovie et à ses recherches archéologiques. Cet ouvrage
constitue également sa démonstration la plus éclatante sur la localisation de
Gergovie aux Côtes de Clermont et une condamnation sans appel de Merdogne. Il
comporte trois parties principales.
La première
concerne les recherches archéologiques de Paul Eychart. Un des grands intérêts
de cette publication est d'informer le lecteur sur les fouilles de sauvetage
effectuées par l'auteur dans les années soixante-dix et le début des années
quatre-vingt (à l'exemple de ses découvertes faites lors des travaux du collège
de Trémonteix). L'axe principal de l'archéologue clermontois est cependant de
montrer que ses recherches archéologiques ont permis de mettre au jour de
nombreux sites occupés par les gaulois à La Tène finale, que ce soit sur l'oppidum
des Côtes ou ses « dépendances » (Bouys/Trémonteix, vallée du Cheval,
Var-Neyrat, Champ de Roseaux...).
La deuxième
partie, consacrée aux fortifications romaines, constitue un remarquable abrégé
de son ouvrage précédent, auquel il faut ajouter une étude incisive sur la
chronologie de la clavicula. Paul Eychart nous apprend en outre les
dates d'établissement du petit camp de Chanturgue et du grand camp de
Montferrand et par là même la période où a dû se dérouler la bataille relatée
par César.
La troisième
partie concerne l'étude de la bataille de Gergovie (sur les deux sites concurrents)
qui – bénéficiant d'une traduction plus littérale du texte césarien (réalisée
par Paul Eychart) ainsi que d'apports d'universitaires en lettres anciennes
tels que Jean-Michel Croisille, Geneviève Demerson ou Yves Texier – est cette
fois-ci encore plus aboutie, intégrant notamment de nouvelles interprétations
d'expressions latines.
Le livre
bénéficie de nombreuses illustrations de Paul Eychart : dessins (croquis,
plans, schémas), photos, montages, parus en partie dans ses publications
précédentes (dans le tirage de tête du livre, aujourd'hui épuisé, était incluse
une superbe eau-forte de l'auteur représentant gaulois et romains en train d'en
découdre sur les remparts de Gergovie).
La destruction
d'un site majeur Gergovie (éditions Watel – Brioude – 1994)
Paul Eychart a
écrit ce livre pour expliquer de manière concise et la plus simple possible au
plus grand nombre sa version de la célèbre bataille. Les éléments avancés par
l'auteur (site des Côtes collant parfaitement à la relation césarienne,
découverte des vestiges d'un camp romain sur Chanturgue) permettent de
localiser Gergovie sur l'oppidum des Côtes de Clermont et non pas à
Merdogne (le titre de l'ouvrage fait référence à l'exploitation de la carrière
de basalte qui détruisait alors inexorablement le plateau des Côtes
c'est-à-dire le site historique de Gergovie). Le livre laisse une place
importante à l'illustration (issue des ouvrages précédents).
César est entré
dans Gergovie (éditions de Beauvoir – Courpière – 2003)
Les
dernières réflexions et questionnements de Paul Eychart sur Gergovie et les
découvertes archéologiques y attenant. Qu'était Gergovie ? Gergovie
était-elle une ville double, la ville basse se situant le long du ruisseau de
Rivaly (aux lieux-dits Bouys et Trémonteix) ? Jules César écrit en effet
qu'il est entré dans Gergovie « Caesar (...) Gergoviam pervenit » ce
qui induit que Gergovie n'était pas seulement l'oppidum de hauteur
assiégé par les légions romaines. Paul Eychart nous propose aussi une synthèse
de ses autres découvertes archéologiques importantes (sanctuaire gallo-romain,
camp romain de Chanturgue, etc.) et pour la dernière fois il nous expose sa
théorie sur la bataille de Gergovie.
- Autres ouvrages actuellement disponibles
La question de Gergovie. Essai sur un
problème de localisation
(par Yves Texier, 1999),
édition abrégée de sa thèse de doctorat « Gergovie : essai
historique et critique sur l'identification d'un site » (Université
Blaise Pascal, sous la direction de Jean-Michel Croisille / Faculté des Lettres
et Science Humaines). L'ouvrage qu'il faut avoir lu si l'on veut être au
courant des origines et de l'historique de la controverse, de l'historique des
recherches, mais qui vaut surtout par son analyse philologique du texte
césarien. Par LE spécialiste de la question du point de vue de l'étude des
textes anciens. Présentation
succincte dans La
Chronique de L'Oppidum N° 40 page 6 – Commande chez
Latomus.
www.latomus.be/boutique/collection/la-question-de-gergovie-essai-sur-un-probleme-de-localisation/
« Gergovie. Défaite de César sur les
Côtes de Clermont »
(par Yannick Zaballos, 1996),
plaquette des éditions
Fragile (également disponible
à l'ASCOT : cf. bon de
commande).
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DESCRIPTION : Au
XIXe siècle, durant le Second Empire, Napoléon III, préparant une thèse
sur Jules César, ordonna au colonel Stoffel de retrouver les sites de «
La Guerre des Gaules ». Les méthodes employées à l’époque manquaient
singulièrement de sérieux et l’emplacement attribué à Gergovie porte
parmi bien d’autres, sujet à controverse. Aujourd’hui, le site des
côtes de Clermont, qui surplombe Clermont-Ferrand, semble le plus
probable site de la bataille de Gergovie.
TABLE DES MATIÈRES : La
bataille de Gergovie – Lexique – Les Côtes de Clermont – La concordance
du texte et des sites – Plan de la bataille selon la thèse de Merdogne
– L’état des recherches – La controverse.
AUTEUR : Yannick Zaballos.
EXTRAIT : «
Deux sites majeurs revendiquent l’emplacement de la bataille de
Gergovie, seule défaite personnelle de César durant la conquête des
Gaules (58 à 51 av. J.-C.). Si le site de Merdogne, rebaptisé Gergovie
en 1865, est identifié comme tel depuis le XVIe siècle, le site des «
Côtes de Clermont » - moins célèbre et moins étudié - apparaît
aujourd’hui plus crédible ».
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"Gergovie un site, des
hommes" (par Daniel Leguet et Denis Tourlonias,
2011, réédition actualisée 2016) livre édité par l'Association du site de
Gergovie (officiel) : historique des recherches archéologiques sur le
plateau de Gergovie-Merdogne jusqu'aux récentes fouilles des années 2000 et
2010, explication succincte de la bataille, géologie du site.
www.gergovie.net/publications
"Gergovie : fin du
mystère " (par Jean Baruch, 2011) aux éditions
« La Galipote ». L'auteur, ancien journaliste à La Montagne, place
Gergovie sur le plateau de Corent, site d'un important oppidum et très
vraisemblable capitale des Arvernes (voir l'avis de l'universitaire et latiniste Yves Texier, titulaire d'une thèse de doctorat sur la
question de Gergovie, dans La Chronique de l'Oppidum N° 80 pages 4 à 7).
https://galipote.jimdo.com/la-maison-d-edition/histoire/gergovie-fin-du-mystère/
Corent. Voyage au cœur d'une ville
gauloise (sous la direction de Matthieu Poux,
2012). Les fouilles et recherches archéologiques entreprises depuis 2001 sur l'oppidum
de Corent, probable capitale des Arvernes à l'époque de la guerre des Gaules,
permettent pour la première fois la reconstitution d'un centre-ville gaulois.
La problématique de Gergovie y est abordée, en particulier la théorie d'une
Gergovie s'étendant sur 2000 hectares (le centre politique et religieux à
Corent, la citadelle à Gergovie-Merdogne, le pôle artisanal et commercial à
Gondole).
www.luern.fr/index.php?mod=new&act=view&id=3
Carte Archéologique de la Gaule Le
Puy-de-Dôme 63/2 (par Michel Provost et Christine
Mennessier-Jouannet, 1994). Second volume du pré-inventaire archéologique du
département du Puy-de-Dôme de l'âge du Fer au Haut Moyen Âge, commune par
commune : les découvertes réalisées sur le plateau de Gergovie-Merdogne
sont consultables à la notice « La Roche-Blanche », celles du plateau
des Côtes et du puy de Corent étant respectivement regroupées dans les notices
« Blanzat » et « Corent » (ouvrage de référence complet et
précis pour les découvertes archéologiques réalisées jusqu'au début des années
90 : état de la documentation au 1er octobre 1994 ; ne
comprend donc pas les résultats des fouilles et recherches récentes.)
www.aibl.fr/publications/collections/carte-archeologique-de-la-gaule/auvergne-rhone-alpes/article/carte-archeologique-de-la-gaule-63-1417
- Bibliographie complète sur la problématique de Gergovie (jusqu'au début des
années 90), figurant dans l'ouvrage d'Yves Texier « La question de
Gergovie. Essai sur un problème de localisation », édition abrégée de
sa thèse de doctorat (Latomus – Bruxelles – 1999 – pages 373 à 389).
- Toutes les publications de Paul Eychart relatives à Gergovie et à ses recherches
archéologiques sont répertoriées dans La Chronique
de l'Oppidum » N° 97 pages 6 à 12. Les quatre premiers ouvrages de
Paul Eychart sur Gergovie et l'archéologie des Côtes – « L'oppidum des
Côtes Augustonemetum Gergovie » (1961), « Préhistoire et origines de
Clermont » (1969), « Gergovie légende et réalité » (1969) et
« Chanturgue camp de César devant Gergovie », tous édités aux
défuntes éditions Volcans de Clermont-Ferrand – sont depuis longtemps épuisés.
On peut néanmoins les acquérir sur des sites Internet spécialisés ou dans les
librairies clermontoises de livres anciens. Les trois ouvrages essentiels de
Paul Eychart sont « Préhistoire et origines de Clermont » (son
plus complet sur les découvertes archéologiques du plateau des Côtes), « Chanturgue
camp de César devant Gergovie » (consacré à ses fouilles et études sur
les fortifications romaines de la colline de Chanturgue) et « La
bataille de Gergovie (Printemps 52 av. J.-C.) Les faits archéologiques – Les
sites – Le faux historique » (synthèse de ses différents
travaux et son plus abouti sur son interprétation de la bataille de Gergovie),
ce dernier disponible auprès de l'ASCOT (cf. bon de commande).
- Articles de La Chronique de l'Oppidum (tableau répertoriant
chaque article ayant pour thème la problématique de Gergovie) – Consultation des numéros correspondants de La
Chronique de l'Oppidum.
présente deux documentaires de 26 minutes, réalisés par Daniel Martineau : interview de Paul Eychart, suivie de "La dernière bataille de Gergovie".
Adresser votre commande à :
KOBA FILMS - 9, rue du Mont Aigoual
75015 -PARIS
Tél. : 01 40 60 40 50
www.kobafilms.fr
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- La dernière bataille de Gergovie (film documentaire diffusé en octobre
1992, une co-production FR3 Rhône-Alpes-Auvergne – KOBA FILMS, avec le concours
du Centre National de la Cinématographie / producteur délégué : Nicolas
Velle / réalisation : Daniel Martineau / un sujet de Dominique Velle et
Nicolas Velle / texte dit par Louis Velle / avec la participation de Paul
Eychart, Robert Audin, Jacques Chambon, Georges Chometon, Jean-Michel
Croisille, Geneviève Demerson, Daniel Leguet, Vincent Quintin, Albert Rousset,
Jean-Claude Sandouly, Luc Tixier et Denis Tourlonias) – Durée : 27 mn.
Avertissement : ce film documentaire,
diffusé en 1992, favorable à la localisation de Gergovie aux Côtes de Clermont
mais donnant néanmoins la parole aux différentes parties, a été réalisé avant
les fouilles de Vincent Guichard et de l'ARAFA sur les « camps et
fortifications romaines » de La Roche-Blanche et de la Serre d'Orcet sous
Gergovie-Merdogne en 1995-96 (voir le compte rendu de la genèse et de la
réalisation du film dans La
Chronique de l'Oppidum
N° 103 p. 9-11).
- Gergovie, archéologie d'une bataille (film produit par Court-jus productions en
2010, avec le soutien du Conseil régional d'Auvergne, du Conseil général du
Puy-de-Dôme et de Gergovie Val d'Allier communauté / réalisation : David
Geoffroy / conseillers techniques et scientifiques : François Gilbert et
Matthieu Poux / avec la participation d'Ulysse Cabazuelo, Pierre Caillat, Yann
Deberge, Christian Goudineau, Vincent Guichard, Thomas Pertlwieser et Matthieu
Poux ; des troupes PAX AUGUSTA et « les gaulois d'Esse ») –
Durée : 67 mn.
Avertissement : ce film ne donne la
parole qu'à des archéologues, tous favorables à la localisation officielle de
Gergovie à Merdogne. Aucun latiniste ou opposant n'est interrogé, contrairement
au film présenté précédemment. Ce documentaire, par ailleurs habilement réalisé
(d'où ses nombreuses récompenses glanées dans les festivals), évoque bien les
Côtes de Clermont, mais sans jamais faire allusion aux points forts de ce
dernier site, à savoir un relief s'adaptant remarquablement aux phases de la
bataille et la possibilité d'un camp romain sur Chanturgue. Achat du DVD et
bande-annonce sur le site de Court-jus
productions.
www.court-jus.com/index.php?id_product=3&controller=product
www.cesargaulois.fr/gergovie-1
Les
auteurs défendent la localisation de la bataille aux Côtes de Clermont.
Un document assez complet: étude stratégique et tactique de la bataille
sur les deux sites concurrents (les Côtes et Merdogne), se basant sur
des études philologiques des textes de César, Polyen, et Dion Cassius.
S'y trouve également un exposé pointu sur la géologie/hydrologie du
site des Côtes et un questionnement sur les murs (de soutènement et en
antennes) du plateau des Côtes, assimilés aux fortifications de
l'oppidum par Maurice Busset et Paul Eychart.
www.gergovie.net
Le
site de l'Association du Site de Gergovie (ASG) défendant la thèse dite
officielle. De très nombreuses informations sur les recherches
archéologiques réalisées sur le plateau de Gergovie-Merdogne.
www.arvernie.free.fr
Site
défendant la thèse dite officielle réalisé par un membre de l'ARAFA
(Association pour la recherche sur l'âge du Fer en Auvergne).
Nombreuses informations sur l'âge du Fer en Auvergne (sauf pour le site
de Corent!) et les fouilles archéologiques effectuées par l'ARAFA, en
particulier sur les oppida de Gergovie-Merdogne, Gondole et Cordes-Chateloi.
www.fr.wikipedia.org/wiki/Siège_de_Gergovie
Une
page sur la bataille de Gergovie. Mentionne la controverse entre la «
Gergovie officielle » et le site des Côtes de Clermont.
www.philippe-gavet.com/01/08/index.html
Présentant la bataille sur les deux sites concurrents, l'auteur se prononce pour les Côtes de Clermont.
https://sites.google.com/site/corentvraiebatailledegergovie/
Gergovie
sur l'oppidum de Corent: une hypothèse
développée par Jean Baruch sur son site mais aussi dans un livre
intitulé "Gergovie: fin du mystère" aux Éditions de La Galipote.
L'auteur en aurait eu la révélation en promenant son chien sur le
site... la mise à jour d'une importante ville gauloise sur le plateau
de Corent renforçant sa conviction (cf. avis du latiniste Yves Texier
dans La Chronique de l'Oppidum N°80 page 4).
www.luern.fr
Tout sur les recherches et les
fouilles archéologiques réalisées par Mathieu Poux et son association
LUERN sur le site de l'oppidum de Corent, très vraisemblable capitale
des Arvernes à l'époque de la guerre des Gaules: tous les rapports de
fouille et de nombreux articles en ligne (plutôt qu'à Gergovie,
l'oppidum de Corent pourrait correspondre à Nemossos, qualifié par
Strabon de métropole des Arvernes).
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Autres textes Antiques sur Gergovie |
www.remacle.org/bloodwolf/historiens/Dion/livre40.htm#35
L'Histoire Romaine de Dion
Cassius, historien romain d'expression grecque né à Nicée en Bithynie
(Asie Mineure) (v.155-v.235). Version en Grec et traduction française.
La Guerre des Gaules apparaît dans les livres 38 à 40. La bataille de
Gergovie est dans le livre XL, chapitres 35 et 36.
Ce passage de Dion Cassius
confirme le texte césarien, en indiquant clairement la situation du
grand camp en plaine et l'attaque à partir d'une hauteur primitivement
occupée par les Gaulois. Le franchissement de l'Allier par les légions
romaines est décrit de manière plus précise que chez César et comporte
des informations complémentaires au texte césarien.
www.remacle.org/bloodwolf/erudits/polyen/huit.htm
Une traduction de «
Stratagèmes », recueil de ruses de guerre (v.162) de Polyen, avocat à
Rome et écrivain militaire grec né en Macédoine au IIe siècle apr J.-C.
César est mentionné au livre 8, chapitre XXIII (Gergovie est aux
paragraphes 9 et 10).
Le
stratagème de Polyen indique clairement que la diversion ordonnée par
César se fit sur la droite (à moins qu'il ne s'agisse de la prise du
petit camp). La description du passage de l'Allier par l'armée romaine
est conforme à celle de César, preuve de la fiabilité de la source de
Polyen.
www.remacle.org/bloodwolf/erudits/strabon/livre42.htm
La
Géographie de Strabon, géographe et historien Grec né à Amasée dans le
Pont (côte méridionale de la mer noire)(v. 64 av. J.-C. - v. 21-25 ap.
J.-C.) en version grecque et traduite en français. Gergovie est
mentionnée au livre IV,
chapitre II, paragraphe 3.
www.bcs.fltr.ucl.ac.be/SUET/CAES/25.html
Suétone,
écrivain romain et secrétaire de l'empereur Hadrien, né probablement à
Rome vers 69-70 apr. J.-C. et mort après 122, a notamment écrit une
"Vie des douze Césars" (De Jules César à Domitien) en huit livres
(publiée entre 119 et 122). La défaite de Gergovie apparaît dans le
chapitre XXV du Livre I consacré à Jules César (paragraphe 4).
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Résumés de la guerre des Gaules |
Autres principaux lieux de bataille mentionnés par César dont la localisation est contestée |
www.alesia.com
Site
sur l'Alésia officielle: Alise-Sainte-Reine en Côte-d'Or.
www.archeojurasites.org
Site
de l'association Achéo-Jura Sites qui défend la thèse d'André Berthier
sur la localisation d'Alésia à
Chaux-des-Crotenay (Jura). Créée en 1980
sous le nom d'A.L.É.S.I.A. l'association a pris le nom
d'ArchéoJuraSites en 2006. Elle est dépositaire des archives d'André
Berthier qu'elle présente sur un site associé:
www.berthier.archeojurasites.org.
www.alesia.jura.fr
Site d'une autre association défendant la théorie d'André Berthier au sujet d'Alésia.
www.archeologie-alesia.fr
Une
contre-enquête archéologique très complète et documentée sur les
vestiges de fortifications romaines autour d'Alise-Sainte-Reine, site
officiel d'Alésia.
www.alesiaalisesequanes.com
Ce
site contient une analyse critique très poussée et détaillée du rapport
final des fouilles et recherches sur les travaux militaires romains
autour du Mont Auxois (site officiel d'Alésia), entreprises entre 1991
et 1997 par une équipe franco-allemande dirigée par Michel Reddé et
Siegmar Von Schnurbein (du même auteur que le site précédent, pour
spécialistes ou passionnés).
www.Janua52.blogspot.fr
Blog
de Danièle Porte, maître de conférences émérite à la Sorbonne,
latiniste, une des partisantes les plus déterminées de la thèse qu'elle
a contribué à fortement médiatiser grâce au journaliste Franck Ferrand.
www.alaise-alesia.pagesperso-orange.fr
Le
site d'Alaise dans le Doubs, principal concurrent franc-comtois
d'Alise-Sainte-Reine du XIXe jusqu'au milieu du XXe siècle, a encore
quelques partisans.
www.fr.wikipedia.org/wiki/Historiographie_du_debat_sur_la_localisation_d%27Alesia
Historique des débats sur la localisation d'Alésia.
www.fr.wikipedia.org/wiki/Siege_d%27Alesia
Le siège d'Alésia sur le site officiel d'Alise-Sainte-Reine.
www.fr.wikipedia.org/wiki/Al%C3%A9sia
Présentation
de la bataille d'Alésia. Y est mentionnée la théorie d'André Berthier
qui localise Alésia à Chaux-des-Crotenay dans le Jura.
www.fr.wikipedia.org/wiki/Uxellodunum
Une
page sur le siège d'Uxellodunum, dernier siège de la guerre des Gaules.
Présente la localisation officielle (Le Puy d'Issolud) et celle de
Capdenac (les deux se trouvent dans le département du Lot).
www.uxellodunum.com/
Site
de l'Uxellodunum officiel au puy d'Issolud. Très complet, en
particulier sur les fouilles anciennes et les recherches archéologiques
récentes.
www.uxellodunum.fr/ Site
de l'association qui défend la thèse d'Uxellodunum à Capdenac.
www.uxello.dunum.free.fr/accueil.htm
Un autre site qui présente plus succinctement la thèse d'Uxellodunum à Capdenac.
www.encyclopedie.bourges.com/avaricumbat.htm
www.encyclopedie.bourges.com/avaricumlieu.htm
La capitale des Bituriges, Avaricum, était-elle réellement située à l'emplacement du centre historique de Bourges?
www.lemonde.fr/europe/article/2009/07/25/lutece-ville-fantome_1222749_3214.html
Selon
certains archéologues, la Lutèce gauloise, qu'on localise
traditionnellemnt à Paris sur l'île de la Cité, se serait en réalité
située dans le méandre de Gennevilliers, plus précisément à Nanterre,
actuelle préfecture des Hauts-de-Seine.
www.fr.wikipedia.org/wiki/Lutèce
La
notice de Wikipedia sur la ville de Lutèce, capitale des Parisii à
l'époque gallo-romaine, évoque également la possibilité d'une Lutèce
gauloise à Nanterre.
www.inrap.fr/2-000-ans-d-histoire-sur-l-ile-de-la-cite-9551
www.inrap.fr/les-origines-de-lutece-cachees-sous-la-prefecture-de-police-de-paris-6588
Les
dernières découvertes de l'INRAPsur l'île de la Cité et sosu l'institut
Curie (sommet de la Montagne Sainte-Geneviève) relancent le débat sur
la localisation de la Lutèce gauloise.
www.cesargaulois.fr
Analyses stratégiques et
tactiques des principales batailles de la guerre des Gaules, études sur
leurs possibles emplacements. Les auteurs traitent notamment d'Alésia,
d'Uxellodunum (qu'ils situent à Cantayrac, dans le Tarn-et-Garonne),
d'Avaricum, des batailles de l'Aisne (qu'ils localisent au fort de
Condé et non pas sur la collinede Mauchamp) et de Lutèce (thèse
particulièrement ingénieuse plaçant la Lutèce gauloise à Paris, non pas
sur l'île de la Cité, mais sur la rive droite au milieu du marais et
d'un bras mort de la Seine).
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